Nos chemins se séparent.
Bonne route à Toi Dame C. je souhaite de toutes mes forces que notre amitié survive et que nous nous croisions à nouveau dans d'autres circonstances.
Nos chemins se séparent.
Bonne route à Toi Dame C. je souhaite de toutes mes forces que notre amitié survive et que nous nous croisions à nouveau dans d'autres circonstances.
Lors de notre dernière rencontre, j'eu à subir les foudres de Dame pour avoir fauté lourdement.
Je me retrouvai nu attaché à un escalier, la tête dans une cagoule de cuir bien serrée
Je vous passerai les coups de martinet et les pinces sur le sexe qui font que je me souviendrai bien de cette leçon, car le but de ce post n'est pas la.
Imaginez vous que pour me punir de façon plus forte, Dame avait également choisi de me martyriser les seins à l'aide des ses pinces métalliques.
J’ai souffert pendant un moment, je me suis tortillé. J’ai serré les dents alors que je sentais mes parties, mes seins hurler de désespoir quand en plus le martinet venait s'abattre sur mes fesses ou sur mon dos ou quand à l'aide de la cravache elle faisait tomber ces maudites pinces en plastique.
A un moment donné, alors que j'avais les larmes aux yeux, et que je n'osais plus que regarder par terre tout en priant que cela cesse.
(Là tous mes lecteurs/trices masos sont déçus/es..), elle décida de venir me mordiller le téton droit, après avoir ôté vivement la pince que je qualifierai de monseigneur (Dame doit se dire : elle est toute petite, il exagère).
Et la ! Est arrivé quelque chose d'assez rare chez moi vu que je ne suis presque pas chatouilleux (vous souvenez vous Dame ;)). J’ai explosé de rire.
Elle s'est retournée vers moi et un grand sourire est venu s'afficher sur son si beau visage.
"Bien valérian ! Tu n'as pas l'air de trop souffrir on dirait. Je vais pouvoir continuer.»
Le stress ? Le téton gonflé ? Impossible de dire pourquoi mais à chaque fois qu'elle me touchait à cet endroit précis de ses dents j'explosais de rire pendant de longues secondes.
Elle en profita pour me travailler au martinet et, alors que je voulais crier de douleur et échapper à sa morsure, c'est un rire nerveux qui sortait de ma gorge.
Cela dura un certain nombre de minutes...très longues minutes…
Peux t'on rire de tout ? vous avez quatre heures..
Elle se lève de sa chaise et applique une caresse sur ma nuque. D’un pas
décidé, elle s'avance vers la porte.
Ma laisse se tend et, alors qu'instinctivement je devrai penser à me lever,
je me surprends à évoluer à quatre pattes. Juste derrière elle, à quelques
centimètres pour que sa robe effleure mon corps à chacun de ses pas.
C'est peut être anecdotique pour beaucoup, mais cet instant est un des
moments les plus forts que j'ai vécu ce soir là. Un sentiment étrange d'être
là où je devais être.
Elle me guide vers la salle scolaire ou trône le pilori. Sure d'elle, elle me
place au milieu de la salle et m'ordonne de patienter.
Attente de courte durée puisqu’elle se rendit dans la salle annexe pour y chercher
quelques accessoires.
"Debout Valérian !" je m'exécute et me place devant le pilori les mains
derrière le dos.
Dame débute alors une virevoltante équipée pour ouvrir l'engin venu tout
droit du moyen-âge.
" Viens ici ma chienne, mets tes mains là .Voila c'est bien. Passe la tête
maintenant.". Un bruit sourd vient sceller mon destin.
Inconfortable à souhait, je me retrouve droit, les fesses et le sexe en
évidence. Mes bras sont immobilisés à coté de ma tête. J’ai le mur pour seule
vision.
Faisant le tour Dame, vient se placer devant moi en m'ordonnant d'ouvrir la
bouche. Le mors vient de nouveau pousser ma mâchoire et je sens la traction
de ma reine venir fermer le dispositif dans mon cou. Un filet de bave
s'écoule rapidement jusqu'au sol.
Tournoyant autour de l'assemblage soumis-pilori, Dame vient caresser mes
fesses tout en vérifiant la bonne tenue du rosebud.
Satisfaite je l’entends chercher un instrument dans son sac.
"Ah valérian! J’ai retrouvé celui que tu n'aimais pas. Ça tombe bien non ?"
Je tente un grommellement quand le coup s'abat sur mes fesses déjà rougis.
Je me tortille et tente de resserrer les muscles quand un puissant " écarte
les jambes" vient détruire mes velléités.
Tout en m'exécutant je sens la pointe du martinet venir caresser mes parties puis taper entre mes cuisses.
Pendant un laps de temps indéterminés, les coups tombent et alternent avec
des caresses bienveillantes alors que je sens mes fesses chauffer et chaque
coup s'imprimer plus fort.
S'arrêtant subitement, Dame me dit alors :
"Valerian ? Nous sommes dans une salle de classe non ? Je pense que je vais
vérifier que tu as bien appris tes leçons. Révisons les capitales du monde et voyons si tu arrives à te concentrer"
j'entends son pas féminin et j'en déduis qu'elle vient se placer devant le
planisphère accroché au mur.
"Commençons par simple ma chienne. Quelle est la capitale de la Norvège ?"
Je crie un Oslo dans mon bâillon qui n'a pas l'air de la convaincre. Un coup vient s'abattre sur mes fesses déjà meurtris.
" Oui ma chienne c'est ça, mais tu n'articules pas bien."
Je grommelle, tout en essayant de bouger quelque peu mes bras qui s'endorment malgré moi.
"Bien. Une plus difficile. Quelle est la capitale de ... Haïti ?
Misère.. Je le sais !! Je revois les événements ! Les tontons macoutes. Duvalier le dictateur mais ça ne revient pas.
" J'attends val ? Quelle est ta réponse ?"
J'arrive à exprimer un « je ne sais plus », qui la contrarie.
"Voyons mon val c'est Port aux princes !!"
En pensée je me dis :"oui !!! Ça me revient je l'avais sur le bout de la lang.........."
Une douleur cuisante vient me rappeler mon erreur. Je me crispe et tente une position improbable pour essayer de faire passer le mal.
Peine perdue, son prolongement vient me rappeler de bien écarter les jambes.
" Alors.. Capitale suivante. Bolivie ?"
" Je le sais !! Je le sais !! Mon dieu. Rappelle-toi, val .. Rappelle-toi !!"
J'arrive à crier avec soulagement et excitation un "La Paz" audible.
« Bien ma Chienne, c'est une bonne réponse ! » Dame se place alors derrière moi et me gratifie d'une caresse sur mon entrejambe qui se réveille aussitôt.
Le jeu continua ainsi pendant quelques temps, lorsque l'on frappa à la porte. Dame allant ouvrir entamant une conversation tout en murmure.
Je tremble d'effroi, car je suis dans le prolongement de l'entrée et à la vue de toute personnes qui passerait, mais rapidement la porte se referme.
"Val, je vais te laisser quelques instants seuls. Ça va aller ?"
Le son étouffé d'un "Oui, Dame" vaut pour réponse et je me retrouve seul dans cette pièce offert à qui voudrait. Le moment à un coté terriblement excitant et angoissant à la fois. Après ce qui me parut comme de longues minutes mais qui en fait devait se compter en secondes Dame revint vers moi. J'avais eu le loisir de comprendre que nos amis rentraient chez eux et que Dame était parti les saluer dans le couloir d'à coté.
Les leçons et les coups reprirent jusque tard dans la nuit.
Quand vers 2h du matin nous nous retrouvâmes face à face, devant une boisson light, je pu observer la dépense d'énergie que je lui avais couté.
Elle se remit rapidement, mais cela me permit de me remémorer que lorsque nous nous donnons nous, soumis, Elles, se donnent également et que c'est un effort constant et épuisant.
Plus tard j’ai pu la chérir, la caresser, la sublimer. Tenter de lui donner moi aussi, une part importante de mon être, mais ça c'est une autre histoire, et elle nous appartient.
A nous seuls.
Nous montons tant bien que mal à l'étage, avec deux gros sacs emplis de
matériels divers. Est-il utile de préciser que les tenues fetishs ne sont
pas ce qu’il y a de plus simple pour évoluer dans un escalier ?
Un palier s'offre à nous. A gauche deux pièces, à droite une grande salle et
une plus petite.
Là, Dame m'ordonne de poser les sacs dans une pièce annexe et me tire sur la
laisse pour me faire visiter.
Nous commençons par la partie gauche : Une première pièce, présente une
sorte de salle de classe avec un tableau noir, une carte du monde et, en son
milieu un grand pilori. Une seconde offre une sorte de croix de st André qui
en fait représente un Y, avec un système de poulie permettant de faire
monter les attaches de poignets.
Dame insiste sur les différents appareils avec un regard approbateur. De mon
coté je regarde les appareils avec une certaine angoisse mais une certaine
envie également.
Dans la partie droite, nous trouvons une pièce avec une chaise
gynécologique, et une autre avec une sorte de grand lit surélevé. L’espace
entre le sol et le lit est fermé par des barreaux et crée une cage de bonne
dimension.
" Viens valérian, nous allons voir le Y de plus prés.."
Je poursuis Dame jusque dans cette salle avec un petit noeud à l'estomac.
Avec précision, elle me pose les attaches de poignets et à l'aide de
mousquetons me fixe les avant bras au Y. Quelques tours de poulies plus tard
et me voila debout, les bras vers le haut face à l’engin.
" Tu es trop habillé, ma chienne. Faisons le nécessaire".
Dame ôte alors la ceinture et le scratch de mon kilt qui glisse le long de
mes jambes, puis descend mon boxer en m'incitant à lever les pieds.
Dame doit aimer la vue, car elle me procure une délicate caresse sur les
fesses, tout en testant la tenue du rosebud.
" tu vas faire du bruit ma chienne, je le sens. Or nous ne sommes pas seuls
ici, je vais donc te bâillonner ce sera plus sur."
Je l'entends fouiller dans son grand sac pour revenir avec un écarteur
métallique qu'elle vient placer entre les dents. Je sens ma bouche s'ouvrir
petit à petit et je gémis de protestations feintes. Une fois la bonne mesure
trouvée, Dame vient embrasser ma langue.
" Hmmm, il me semble trop petit pour toi, valérian. Et je pense avoir plus
adapté. Ne bouge pas je reviens ! "Dit-elle en souriant.
Ne se passe que quelques minutes mais déjà, l'afflux de bave déborde de ma
bouche et commence à dégouliner le long de ma joue.
Elle revient et commence à ôter l'écarteur. Je déglutis tant bien que mal,
lorsqu’ un mors en latex vient remplacer l'objet métallique. J’écarte le plus
possible la mâchoire afin de laisser passer l'intrus. Dame fixe alors
solidement la sangle à l'arrière de mon crâne.
" voila ! Là !c'est mieux. Oh ? Mais c'est que ma chienne bave on dirait !!
Interdiction de pousser le mors mon valérian, c'est bien compris?"
Je tente un oui qui se transforme en un grommellement inaudible qui la fait
rire.
Elle s'approche de moi et me caresse les fesses, puis ouvre le zip de mon
top en latex pour laisser mes tétons à l'air libre. Sa main vient les
titiller et je frissonne à l'idée de ce qu'elle pourrait faire.
S’il y a bien un endroit où je suis très sensible c'est là. Elle le sait et
va en jouer.
Elle commence par de petites pinces du moins je le pense car je refuse de
regarder. Au début la sensation est agréable, ensuite vient le sentiment de
pincement pour enfin retrouver une douleur supportable. Je grogne dans mon
mors et baisse la tête, un filet de bave s'échappe et vient faire une flaque
entre mes pieds.
" mais tu supportes on dirait ? Voyons plus sérieux alors."
Elle ôte les petites pinces sans ménagement, et viens placer un autre
ustensile, plus froid. Métallique. Je sens mes tétons encadrés et petit à
petit la pression se renforcer.
" c'est adaptable ma chienne, il suffit que je visse pour que cela vienne
se resserrer tout doucement. Tu vas aimer tu verras ".
Lentement mais sûrement les engins viennent presser mes seins et le
pincement se fait de plus en plus fort.
Je commence à gigoter et à marmonner alors que les appareils prennent
possession de mon torse.
Après quelques instants Dame s'arrête et regarde le résultat. De mon coté,
j'ai l'impression qu'on m'étire et de découvrir une nouvelle partie de mon
corps.
" Bien. Maintenant, je vais continuer à décorer mon soumis. Il manque
quelque chose plus bas !. Ecarte les jambes valérian !".
Je m'exécute immédiatement et je sens ses mains venir soupeser mes parties,
ce qui a un effet immédiat sur ma virilité, qu'elle vient actionner de la
plus simple des façons tout en me gratifiant d'un " Bonne chienne".
La suite est moins agréable puisque je sens ses mains appliquer des pinces
sur mes bourses. La sensation est fulgurante, douloureuse mais s'apaise
très vite. Quatre ? Cinq ? Six ? Je ne sais plus trop, mais je ressens un
poids différents à un endroit que je connais pourtant depuis très longtemps.
Dans le laps de temps, j'ai inondé de bave le sol et des filaments coulent
le long de mon corps. J’ai des sensations de partout et malgré les pincements
et la gêne je me prends à aimer ma position.
Dame sort alors de son sac magique toute une série de jouets longs, fins, où à
lanières qu'elle s'emploie à utiliser sur mes fesses ou sur mon dos.
Parfois frappante, parfois caressante, son art virevolte autour de moi. De
la Pointe de son outil, elle joue avec les pinces et réveille la douleur qui
s'était assoupi.
Elle me parle, me dit nos mots, me met à ma place, me fait remarquer que je
n'ai pas de marque et que donc je devrai lui être reconnaissant de sa mesure
dans ses coups, me fustige sur la saleté que je laisse couler de ma bouche
où de mon sexe.
Je ne peux pas dire combien de temps cela a duré mais je me souviens que mes
jambes commençaient à faiblir et que mes poignets, mes mains manquaient de
sang.
Plus tard, se plaçant à mes cotés, elle vint me détacher patiemment, m’accordant des caresses salvatrices.
Retrouvant la liberté, l'instinct me fit me mettre à quatre pattes et je lui
embrassai les chaussures relevant la croupe comme elle semble l'aimer.
Elle s'assoit sur un fauteuil non loin et je viens placer ma tête sur ses
jambes recouvertes de latex.
Nous restons là. Calme et dans le partage. Sa main caresse mes cheveux ma
nuque. Les miennes entourent se chevilles, ses mollets, ses pieds.
Après quelques temps elle me demande : " ça va Valerian ? "
« Que répondre ?
Il a fallu au minimum 3 secondes pour que la question arrive à mon cerveau.
Je suis bien, je n’ai plus envie de bouger. Je sens sa main, son contact, son parfum.
J’ai eu mal, oui, mais ces sentiments sont déjà loin, remplacé par une plénitude enivrante.
Je voudrais que ces moments durent, que rien ne nous sépare, que Chronos arrête sa course et qu’il me laisse m’enivrer de la vie de Dame.
Que répondre ?
Je lève la tête pour la regarder. Qu’elle est Belle. Qu’elle est radieuse.
Laissez moi vous accrochez une auréole Dame !
Laissez moi occire tous les mécréants du monde !
Je me sens le plus puissant quand vous étés la !
Quand j’ouvre les lèvres un seul mots arrive péniblement à sortir.. Je ne pensais pas qu’un jour je le demanderai.
…
…
« Encore…. »
..
« Encore Dame.. »
Sur son magnifique visage se dessine un immense sourire.
(A suivre)
23 heures. Nous sortons de la grande baignoire verte ou avec délicatesse j’ai savonné puis rincé ma Belle Dame. Je l’aide à se rhabiller de sa majestueuse tenue, et lui demande ce que je dois moi-même mettre.
« Je te veux avec ton top zippé, ton Kilt et tes bottes mon valérian » .
« Et en dessous, Dame ? »
« Attends je réfléchis » .. Je laisse échapper un « glurps » à l’idée d’être nu sous le kilt, quelque soit l’endroit ou nous nous rendrons.
Alors que nous discutions en écoutant un concert de Pink Floyd sur le grand lit rond de la chambre po, Dame avait alors regardé sa montre en disant « Aie.. Nous allons être en
retard il faut nous dépêcher si nous voulons être au bon endroit en même temps que mes amis »
« En retard ? Pourquoi Dame ? Nous sortons ? Nous voyons des amis ? » Lui rétorquai-je déjà en panique.
« Voyons mon Valerian. Bien sur, tu ne crois quand même pas que nous allions passer la soirée à se vautrer sur un lit. De plus je te rappelle que j’ai quelques griefs à ton encontre, et que j’ai un sac plein de jouets qui me permettront d’y répondre. Maintenant va faire couler le bain »
Perplexe et inquiet je m’étais levé vers la baignoire au robinet phallique pour actionner l’eau chaude.
« Allez !! Je suis trop gentille. Pour cette première tu peux mettre un boxer. Et mets tes affaires dans un sac tu te changeras las-bas. Je ne voudrais que nos amis hôteliers soient choqués d’un homme en kilt latex dans leur entrée »
Quelques minutes plus tard, Nous étions sur le parking ou j’emplissais la soute de nos deux gros sacs emplis de formidables jouets pour Adultes. On ne pouvait deviner la tenue de Dame sous son long manteau. Quand à moi, seul était visible mon collier que ne dissimulait que très mal mon gilet de laine synthétique.
« Le moteur vrombissant je demandais à Ma reine de latex ou elle voulait que nous allions.
Ce n’est pas très loin. Reprend le grands Axe et va vers la Gauche. Nous
devrions tomber dessus très rapidement. Tu connais de nom. Nous allons au Club Elyseum. »
http://www.clubelysium.be/
Effectivement je connais de nom, Dame m’en avait déjà parlé et elle m’avait même donné le lien pour que je puisse voir de quoi il en retournait.
« Stop ! Valérian !! Tu as dépassé le bâtiment ! »
Décidément c’était la soirée. Je freine en regardant qu’aucun cargo ne nous suive puis enclenche la rétropropulsion pour venir me mettre sur le parking prévu devant la masure.
Grande maison de campagne au style simple. Je remarque des vaisseaux de la galaxie voisine à l’immatriculation 62. J’ouvre la porte de Dame puis prends les sacs. Je viens me placer bien derrière elle au cas où. N’étant pas très rassuré dans les endroits que je ne connais pas.
« Ah ! Valérian ! En cas ou tu aurais besoin de quelque chose. Tu parles en Anglais ici.. »
Arf, en anglais. Je le comprends très bien mais j’ai toujours eu horreur de le parler. Voila une raison pour me taire..Hé hé hé
Dame prends alors la laisse et me l’attache au collier.
Nous arrivons devant l’entrée et Dame appuie sur le bouton de sonnerie. Une femme d’un âge moyen vient nous ouvrir avec un grand sourire. J’entends Dame lui dire un good evening que je m’empresse de répéter en marmonnant, les yeux rivés sur mes chaussures.
Nous entrons dans une sorte de vieux bar. Devant la porte, une piste de danse de trois quatre mètres carrés avec ses jeux de lumières. A gauche une table haute avec deux chaises assorties.
A droite un jeu de banquette et de divan, ou sont installés 3 personnes aux timbres vivants.
Deux femmes et un homme, j’observe rapidement sans voir de collier autours des cous, me signifiant qu’aucun soumis/soumise n’est présent en ces lieux.
Dame passe devant eux en les saluant respectueusement ce que j’essaye de faire également toujours en regardant le sol.
Nous nous asseyons dans un canapé et Dame nous commande à boire deux « Diet-colas »
« Vas-tu bien mon val’ » me demande t’elle.
« Oui Madame, je vais bien. »
« Bien ! Mes amis ne vont pas tarder normalement »
Au passage j’entends la serveuse qui dans le langage de la perfide Albion, annonce à Dame que quelqu’un, en haut avait demandé après Elle.
« Ah tiens.. Ah oui c’est vrai elle m’avait dit qu’ils seraient peut-être la »
« Qui ça Dame ? »
« tu verras bien val.. Tu verras bien. Bien, je t’explique un peu. Ici en bas c’est un lieu de discussion mais en haut il y a différentes salles avec différents engins. Nous les visiterons tout à l’heure et qui sait peut être pourras tu essayer quelques artefacts » me lance-t-elle avec un grand sourire.
Je murmure un « Oui, Dame.. ». Elle me prend le visage et m’embrasse tendrement.
Nous patientons quelques minutes en discutant et en sirotant nos sodas light, lorsque la porte d’entrée sonne. La serveuse se dépêche d’ouvrir pour laisser passer un homme et une femme que Dame semble reconnaitre du premier coup d’œil.
N’ayant pas mes lunettes, je ne distingue de que deux formes inconnues, qui lorsqu’elle se rapproche me paraissent connues.
Effectivement il s’agit de notre hébergeur et de son ami !! Quelle surprise ! Je n’ai rien vu venir ! Mais vraiment rien ! Même quand Dame a reçu des SMS bizarres et des coups de téléphone impromptus juste avant que nous partions.
Avant de s’installer a notre table, le compagnon de notre hébergeur effectue un mouvement vers le bas pour saluer ma Dame et sa tenue magnifique. Il parfait sa présentation par une bise à ses chaussures. Discrètement je me mords les lèvres ne voulant pas créer de scandale mais s'il y a bien une chose que j’encaisse très mal c’est qu’on touche ma Dame. Elle semble ravie, alors je me calme et salue l’invité courtoisement.
C’est un homme de taille moyenne avec une gouaille et un humour décapant. Il est tout de suite à l’aise et nous convie dans des aventures narratives exquises. Dame et notre hébergeur, sont conquis et s’amusent de bon aloi !
Dans l’intervalle Dame me prie d’aller me changer dans la salle d’à coté.
Je prends mon sac, et me glisse dans la petite pièce qui m’oblige à passer devant tout le monde. La salle s’étant remplie petit à petit.
Endroit exigüe mais qui me laisse la place d’enfiler mon kilt et mes bottes, choses aisées à réaliser mais qui me rappellent sans cesse l’étranger qui est au fond de moi.
Grâce soit rendu à Dame de m’avoir laissé porté un boxer, j’aurais eu peur de perdre l’objet en plein milieu de la salle..
De retour dans le bar je regarde encore plus le bout des mes chaussures jusqu'à arriver à coté de Dame. Du haut de mon mètre quatre vingt quinze je lui demande sa permission pour m’assoir à ses cotés en lui tendant ma laisse.
La soirée se passe dans la bonne humeur quand un couple redescend de l’étage à malice.
Lui est habillé de façon classique, mais elle, porte corset jupe et bas latex noirs. A son cou un petit collier fin m’indique sa position.
Dame, les convies à nous rejoindre, reconnaissant en eux ceux qui avaient demandé après elle.
Après quelques discussions et nous souhaitant une bonne soirée, voila que notre joyeux drille reprend son manège en allant embrasser les pieds de la soumise, qui de par ricochet demande à son maitre si elle peut faire la même chose à Dame Clémence. Celui-ci l’autorisant, Mademoiselle latex se penche alors pour délicatement embrasser les bottes de ma Divine.
Je pense que je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir un regard entendu car dame me prit le menton en me disant :
« Mais on dirait que mon valérian est jaloux ? Qu’est ce que c’est que ce regard ? » Tout en tendant ses pieds à la soumise au sol, elle me jeta un regard amusé et me caressa la nuque
Une fois le couple partie et après que nous ayons fumé quelques cigarettes dans le froid galactique sous une tente en terrasse. Dame tira sur ma laisse et me dit ceci :
« Prend les sacs. Je vais te faire visiter »
En se retournant vers nos amis : « A tout à l’heure « avec un grand sourire.
( A suivre)