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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 13:32

gantsLa tête entourée et bloquée, je l’entends qui sort ses gants de latex noir de leur boite. Elle y glisse ses mains en faisant claquer la matière sur ses poignets pour ensuite frotter ses doigts entre eux. Je frissonne et je ferme les yeux, je sens leur odeur, leur proximité.
Contente de sa préparation, elle vient apposer ses deux mains sur ma nuque, étirant ses longs doigts sur mes tempes.
Le contact me fait frémir même si je m'impose la plus grande neutralité de réaction. Le latex flirte avec ma peau, je le sens s'accrocher légèrement pour ensuite retourner aux contacts de ses doigts propriétaires.
Je serre les jambes sous ma tenue, une érection ne serait pas forcement la bienvenue à ce moment.
Avec grâce elle s'applique à me torturer le crane des ses gestes précis et savoureux. Alternant la douceur d'un doigté à la force d'une prise complète de mes cheveux comme la chienne que j'aime parfois être.
Je souffle de plaisir a ces sensations divines, lorsqu'un liquide tiède vient couler le long de ma nuque et qu'avec empressement elle l'étale sur mon crane. Ses serre s'emparent alors de mon crane et je tombe à sa merci. Pitié Madame, demandez moi ce que vous voulez mais faite que cet instant ne se termine jamais. Englobez-moi de vos mains de caoutchouc! Torturez-moi le visage ! Laissez-moi sentir vos majeurs autours de mes yeux !
Est ce qu'elle sent mon désir ? Est ce qu'elle imagine mes pensées alors que d'une main ferme elle m'attrape à nouveau les cheveux pour me plaquer la tête vers l'arrière ?
puis le vide.. l’absence..Le doute. J’ouvre les yeux pour l'entendre dire :
" Monsieur, vous pouvez passer au salon, Le coiffeur va s'occuper de vous"
 
Un petit texte, juste pour montrer que parfois, on trouve son fétichisme dans des lieux insolites avec des personnes qui n'ont même pas idée du bien qu’elles vous font.
Si cette charmante shampouineuse, avait pu lire mes pensées ce jour là, elle serait devenu toute rouge, ou alors aurait elle sourit avec un regard sévère.

 

Par valerian - Publié dans : vecu
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Samedi 19 décembre 6 19 /12 /Déc 08:41

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L’ascenseur monta gentiment à l’étage de son appartement. Gêné j’attendais qu’elle m’invite à la suivre ce qu’elle fit rapidement. Arrivé devant sa porte j’eus le même réflexe et d’un signe de la main elle me donna le sésame de son appartement où elle me dit de me remettre dans la tenue que j'avais chez ma Dame.
Je m’empressai de me déshabiller, n’oubliant pas, peut être avec excès de plier mes habits et de les ranger de façon correcte.
Sur la table du salon, se trouvaient des amuses gueules et quelques bouteilles conviviales. Elle me demanda de de m’agenouiller sur le tapis pendant qu’elle prenait place dans le canapé.
« Sers nous à boire s’il te plait » me demanda t-elle.
 
1 Heure plus tôt, bousculé, endolori, je subissais les méandres des routes du nord quand enfin la voiture s’arrêta. Une portière qui claque puis les mêmes bruits de pas qui s’avancent vers le coffre mais un peu plus étouffés.
Celui-ci s’ouvre et une vague d’air frais vient souffler sur mon corps, on me tend une main que je saisis et j’essaye tant bien que mal de sortir de cette cage mobile.
Gentiment elle me soutient et me dirige alors que l’obscurité est encore ma partenaire. L’environnement est surprenant: plus de bruit de voiture, mais un son étouffé dans une atmosphère qui reste froide mais pas glaciale. Mais où diable sommes-nous?
Un zone froide et dure dans mon dos, un mur.. Elle m’y plaque sans ménagement et me fouille afin d’extraire ma laisse qui était cachée dans les plis de mon manteau.
La traction vers le bas ne peut signifier qu’une seule chose: je me mets à genoux, puis à quatre pattes. Sa main vient se plaquer sur mon cou et une poussée verticale me plaque les lèvres sur ses chaussures que j’embrasse timidement.
La laisse repart vers le haut et maladroitement, les membres encore endormis, je me relève. De nouveau contre le mur, je sens ses mains venir ôter le loup de cuir et l’instant suivant mes yeux sont libérés.
Il me faut quelques longues secondes pour passer de l’obscurité à la lumière, puis mes yeux me révèlent un visage connu et souriant. Madame E se tient devant moi, la laisse solidement posée dans sa main et me dit tout simplement: « Bonjour, toi ».
Un faible « bonjour Madame » sort de mes lèvres cependant souriantes.
 
Je l'interrogeai sur ce qu’elle souhaitait et si j’avais droit à un verre d’alcool, elle me donna son agrément tout en souhaitant un jus de fruit.
Je secouai la bouteille, remplis son verre puis m’ en servis un. Je lui tendis son verre, et de façon conviviale nous discutâmes de moments et personnes communes. Un temps de détente idéal qui me permit de calmer mon stress initial.
J'en profitai sur son invitation pour lui masser chaleureusement les pieds ce qui sembla lui plaire fortement.
Après quelques minutes elle m’invita à la rejoindre autour d’une table où certains instruments étaient posés.
« Sur cette table se trouvent dix accessoires, je voudrais que tu m’en élimines deux et que tu en privilégies deux autres. Deux que tu ne souhaites absolument pas et deux que tu voudrais avoir ».
Le deal était posé et je regardai la table avec étonnement et angoisse.
On pouvait y voir un martinet doux en daim, un martinet dur en cuir, des bougies, une badine en rotin, une cravache très souple, une cravache longue de dressage, des glaçons, un foulard, une plume, et une spatule en plastique
Sans grande hésitation, j'ôtai les bougies de la liste, puis je me concentrai à nouveau sur la tablée. Deux autres éléments me donnaient de grandes inquiétudes. La glace parce que je n'avais aucune idée de ce qu'elle pourrait en faire, et la badine en rotin, ayant entendu les douleurs qu'elle pouvait engendrer.
L'indécision quand à ou et comment la glace pourrait être utilisée l'emporta et je désignai le bol à glaçon à Madame E, ce qui provoqua un étonnement de sa part.
"Bien. Maintenant les deux accessoires que tu voudrais absolument avoir."
Pour ce que coté là du "deal", je pris le parti de tenter des expériences que je ne connaissais pas et, étrangement la spatule en plastique me parut remplir ce rôle, ainsi que la cravache souple. Un sourire entendu se dessina sur les lèvres de Madame E qui m'invita à la retrouver au salon ou nous continuerons nos discussions.
Au bout de quelques minutes elle se leva et m'ordonna de la rejoindre en dessous d'un piton fixé sur une poutre.
"Ôte moi ton haut de latex" me dit-elle fermement.
J'obtempérai pour la voir ensuite me tendre les bras vers le haut et attacher mes poignets aux pitons. Elle me caressa le dos pour ensuite venir placer le foulard sur mes yeux, pour enfin reculer.
Seul au monde dans ce moment d'attente, je me remémorai les phrases dites par Madame quelques heures plus tôt.
" Tu feras comme si c'était moi, tu ressentiras comme si j'étais la et je te veux fier et beau".
Je m'installai donc dans une position que je pensais être virile en bombant quelque peu le torse, m'attendant à recevoir les intérêts du prêt.
Il est quasiment impossible de décrire exactement ce que j'ai ressenti dans les minutes qui suivirent tellement les émotions et les sensations se mêlèrent.
Parfois douces, parfois sévères, parfois douloureuses, parfois pinçantes. Tout se mêlait dans un moment intense qui alimentait essentiellement mon principal organe sexuel, mon cerveau. J'étais dans un état d'extase et de plaisir passionné, mon corps et mon être ramenés a l'état d'objet utilisable à souhait. Je ressentais mon collier comme jamais et je n'aurais jamais voulu que ça s'arrête.
Pourtant cela s'arrêta. Combien de temps ? 10 minutes ? 30 minutes ? 1 heure ? Je ne sais pas, j'étais hors du temps. Quand elle me détacha et me ramena sur le tapis, il me fallut quelques instants pour retrouver pied et réaliser les faits.
Tendre et à l'écoute elle me posa des questions et s'enquit de mon état pour ensuite grignoter un peu tout en me caressant les cheveux.
Je lui demandai alors si je pouvais lui embrasser les pieds et avec un grand sourire, elle accepta. Passant des orteils à la plante tout en arrondissant ses chevilles, je m'appliquai à mettre ma langue et mes lèvres au service de Madame E.
Elle prit un plateau métallique, le posa par terre et y installa son pied libre. Surpris je relevais la tête quand je la vis délicatement renverser un verre de whisky sur celui-ci. Sa main vint sur mon cou et attrapant mon collier elle me poussa la tête vers l'alcool pédestre. Le message était limpide et ma langue retrouva sa fougue, léchant et embrassant la douce terminaison de sa jambe.
" Tu as été bien sage, je pense que tu mérites ta récompense" me dit-elle avant de se lever pour disparaître dans une pièce adjacente.
Patient, à quatre pattes sur mon tapis, j'attendis pour enfin entendre un bruit qui me rappela quelque chose. Des frottements de plastique qui éclairèrent mes idées en la voyant arrivée tout de vinyle vêtue.
Magnifique image que Madame E tout de noir brillant, perchée sur de hautes cuissardes qu'avec joie je m'empressai d'embrasser et de caresser.
Nous discutâmes pendant de longues minutes sur justement l'achat de cette tenue et certaines aventures qui y étaient associées, pour qu'enfin regardant son téléphone portable qui venait de vibrer, elle me dit ceci: " La soirée n'est pas finie, nous allons avoir de la visite". Il me fallut très peu de temps pour remettre la machine à penser en route et son grand sourire m'aida à découvrir l'identité du visiteur masqué.
Ma Dame venait me chercher !!
Joyeux j'attendis sur le tapis qu'elle aille la chercher dans le hall du bas et c'est avec une grande joie que je les vis arriver toutes deux quelques instants plus tard.
La soirée se termina par de belles et longues discussions et une ambiance des plus chaleureuses.
Quand il fallut partir, sur le pas de la porte me vint une idée peut être saugrenue mais qui correspond fortement à ce que je suis. ( Ma Dame à l'habitude de me comparer à ses chiens, grand et plein d'amour mais parfois un peu trop enthousiaste et rentre dedans.)
" Madame E, puis je vous marquer un geste de sympathie pour cette belle soirée ?" lui demandai-je.
Elle eut à peine le temps de dire oui que je la prenais dans mes bras pour lui faire le plus beau câlin que je pouvais.

Par valerian - Publié dans : vecu
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 15:18

« Pose ta main là, et monte dans le coffre »
Je m’exécute en repliant difficilement mes jambes et ma tête vient se poser contre le passage de roue, puis je sens qu’on jette une couverture sur moi. Dans le noir complet, un loup de cuir sur les yeux j’entends le coffre se refermer d’un coup sec. Des bruits de pas… une portière qui s’ouvre et qui se referme… le moteur vrombit et la voiture se met en branle. La descente du trottoir lance ma tète contre le métal froid.
Je me place tant bien que mal tout en écoutant les bruits alentours. Je file vers l’inconnu dans la nuit froide de novembre, un nœud à l’estomac.


2 Heures plus tôt, je recevais un SMS avec ces instructions.
«  Tu te placeras sur ton tapis assis en tailleur. Tu auras mis ton haut en latex et tes poignets, tout en ôtant ton pantalon et tes chaussettes. Ton collier et ta laisse seront devant toi attendant que je te les pose.
J’ai placé un loup de cuir sur la table de salon que tu mettras en arrivant. »
Arrivé sur les lieux je me dépêche de réaliser les ordres demandés, tout en prenant l’initiative de mettre un fond musical.
Assis en tailleur, dans le noir du cuir, j’attends l’arrivée de Madame. Hôtel Costes Volume 5 m’accompagne dans ma solitude pesante.
5 minutes, puis 10 ou encore 20. Je perds la notion du temps et projette mon esprit sur des envies, des projets, des angoisses. Qu’a-t-elle prévue ? Qu’allons-nous faire ?
Lorsque la porte d’entrée vient à se refermer, je me ressaisis et prend une position droite afin qu’elle soit fière de moi.
Elle entre et vient à poser des achats sur la grande table, puis s’approche de moi. Elle me caresse la nuque en m’offrant un bonjour que je m’empresse de lui rendre.
Ses mains douces viennent positionner le collier autour de mon cou, que j’offre ouvertement afin de l’aider à le placer. Le cliquetis du mousqueton m’informe que la laisse est également à sa place.
« Comment vas-tu ? » me demande-t-elle ?
La conversation s’engage alors de façon conviviale et nous échangeons sur nos points communs et sur les dernières nouvelles. Elle amène de quoi boire et manger et m’aide à me sustenter alors que l’obscurité du cuir est toujours ma compagne.
«  Tu peux boire manger et fumer jusqu'à 19h30 environ alors profite en ! Ensuite je ne sais pas si tu seras en mesure de le faire ». Cette phrase simple lancée dans la conversation me fige quelque peu et je recommence à cogiter fortement. Agréant les conditions évoquées j’en profite alors pour picorer quelques chips qu’elle mène dans ma bouche tout en rigolant.
«  As-tu des questions ? »
Je lui ai donné la Clef, je sais donc que quoi qu’elle ait décidé j’obéirai. Oh je sais bien que certains de ses choix seront parfois difficiles à supporter mais c’est le contrat que nous avons passé. J’essaye donc d’imaginer quelles sont ses envies ce soir : De quoi m’a-t-elle parlé récemment ? Y a-t-il des éléments dans ses derniers actes qui seraient à même de m’apporter des indices ? Rien ne me vient à l’esprit si ce n’est sa volonté un jour de jouer avec ses aiguilles. Si c’est le cas ce soir alors je verrais bien pendant ce qui se passe.
« Euh non Madame, je n’en ai pas pour le moment ».
Moments de tendresse et de complicité ou nous échangeons sur tout et rien comme nous pouvons le faire si fréquemment. Elle, assise dans le canapé laissant frôler ses pieds et ses mains sur mon corps. Moi, à ses pieds répondant à ses stimuli par des « Ouaf » évocateur.
«  Tu te souviens de la règle Numéro 4 ? »
Nouvelle Bombe lancée sans ultimatum, qui ravage le socle de mes pensées.
Bien que faite sous l’égide de l’amusement, ces 4 règles sont cependant bien établies et à respecter.
Règle numéro 1 : Madame a toujours raison.
Règle numéro 2 : si Madame à tors, se référer à la règle numero1
Règle numéro 3 : Madame n’est jamais de mauvaise foi.
Et enfin la règle numéro 4 que je n’arrive jamais à énoncer dans les termes exactes formulées par Madame mais dont je connais le sens général :
A qui je te donnerai, Comme à moi tu obéiras.
«  Oui Madame je connais le sens de la règle »  mais pourquoi Maintenant ? Quelqu’un vient ? Nous sortons ? Panique à bord !! Le stress reprend ses droits ? Qui ça ? Ou ça ? Comment ça ?
« Tu sors… à 19h30 on vient te chercher pour la soirée. Je veux que tu sois irréprochable. Tu feras tout ce qu’on te dira dans la limite de ce que tu peux accepter. Si un problème survient, tu pourras dire stop, mais je veux être fière de toi en toute circonstance ! »
La cigarette que j’avais en bouche se met à irradier une lumière intense tellement j’aspire dessus. Elle m’en avait déjà parlé, mais je ne pensais pas qu’elle mettrait ce choix si vite en application.
«  As-tu des questions ? »
Evidemment que j’en ai !!! Une flopée, elles se bousculent sur mon palais pour faire bouger ma langue, jouant des coudes pour passer  les unes avant les autres. Mais une surtout arrive à s’imposer.
Tout en déglutissant, j’arrive à la poser.
«  Oui Madame, qui est ce ? »
Je devine son sourire et elle me répond «  autre question ? »
«  Madame !!! S’il vous plait ? Je la connais ? Est-elle belge ? Française ? Ou m’emmène-t-elle ? »
«  Tu verras bien !! Et pourquoi Elle ? Qui te dit que c’est une femme ? »
Ma bouche reste ouverte et les questions qui se faisaient si pressante repartent vers le fond de mon cerveau dépité.
«  Mais.. Madame..Je.. »
«  Allez ça suffit, calme toi. Et dis-moi ou tu as posé tes vêtements que je puisse te les redonner au moment voulu. De Plus elle va bientôt arriver. »
« ..su..sur la chaise Madame. » Au même moment la sonnerie retentit.
«  Ne bouge pas. Je vais ouvrir »
Je reprends une position plus adéquate, en tailleur la tête vers le bas et j’attends sur mon tapis ne sachant pas quoi penser de ce qui m’attends. »
Le bruit de talon sur le carrelage du couloir me soulage quelque peu, c’est bien une femme me dis-je.
« Bien. Habille-toi maintenant. Remet ton pantalon, tes chaussettes, tes chaussures et ton gilet au dessus de ton top latex. Je t’aiderai si besoin mais n’ôte pas ton loup. »
Tant bien que mal j’arrive à négocier l’habillage avec l’aide de Madame et je me retrouve prêt à sortir. Madame m’enfile alors ma veste de cuir et me demande : «  Ou es ton téléphone ? »
« Dans ma veste Madame. »
«  Bien, tu as tout ce qu’il faut alors. Prends ma main et laisse-toi guider. Je te souhaite une bonne soirée. A tout à l’heure »

Aveugle temporaire, j’étends mes autres sens afin de déterminer ou nous allons. Au bout de la rue nous tournons sur la droite, puis la voiture accélère pour arriver sur un rond point.
Troisième sortie. Je ballote dans le coffre quand l’autoradio vient à donner de la voix par le biais d’un groupe finlandais. Une chanson en moyenne dure 5 minutes, si j’arrive à compter celles qui passent j’arriverai certainement à découvrir notre destination.
Des pavés, puis une accélération forte. Un bruit de roue qui m’indique de la vitesse, nous avons donc prit une voie rapide ou une autoroute.
Troisième chanson : une quinzaine de minutes.
La voiture serpente : si j’ai bien deviné elle devrait pencher à gauche puis ensuite avoir une longue période de ligne droite, ce qu’elle fait effectivement.
Quatrième chanson : une vingtaine  de minutes.
Sortie très brève sur la droite et un feu. Un soupçon.
Démarrage.. tout droit puis quelques bosses, large virage à gauche puis une ligne droite qui semble descendre et rapidement remonter.
Si je ne me suis pas trompé nous sommes à Lille pas loin du quartier des Gares.
A suivre...

 

Par valerian - Publié dans : vecu
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Vendredi 9 octobre 5 09 /10 /Oct 16:58
Voila deux petites images pour vous donner un aperçu de ce que je cherche à faire en ce moment... reste à faire bouger tout ça maintenant.
A bientôt.





Par valerian - Publié dans : vecu
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Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 15:51

Ca y est .. Retour au bercail, errance sur le net et zapping aléatoire au programme ( c'est l'inconvénient de dormir peu..)

et je tombe sur un OVNI .. arte ou la Cinq, je ne me souviens plus trés bien, mais à l'écran du 102cm s'affiche allégrement une jolie femme bronzée attachée au mur d'une sorte de Riad.

de grosse chaines serpentent des murs jusqu'à ses poignets et ses chevilles.

A ses cotés une autre femme la fouette et à chaque morsure, une dominante assise crie un "plus fort".

je regarde l'ecran en bas a droite .. aucun -16 ou -18, ce n'est pas canal plus non plus.
je suis scotché surtout que les scénes torrides s'enchainent, avec : seins dévoilés, blessures érotiques à l'arme blanche, cadavres suggestifs, femmes qui marchent à 4 pattes en laisse etc etc..

un OVNI vous dis je ...

hormis ces scénes le scénario est plus qu'étrange et la façon de tourner, déroutante: de multiples allers-retours, des scénes qui se mélangent, et .. arielle Dombasle ????

Guetter votre telestar ou tv2semaines pour voir si le film sera rediffusé parce que ça vaut quand même le coup !!


voici le lien vers le site officiel et je vous met la bande annonce.

A bientôt :)
 

Par valerian - Publié dans : vecu
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